POLITIQUE - Il voulait éviter le “rapport de force” et la “rhétorique guerrière”, c’est raté. À l’occasion de son discours devant le Conseil économique, social et environnemental (CESE) pour dévoiler les contours du projet de loi sur les retraites qui sera prêt ”à la fin de l’année”, Édouard Philippe n’a fait que crisper un peu plus les syndicats ce mercredi 11 décembre, se mettant même à dos son dernier allié, la CFDT
11 décembre 2019
577 Retraites: Philippe abat sa carte sociale, mais ça ne marche pas du tout
Le premier ministre a fait le job. Il a raison. Il faut arrêter les privilèges et les mensonges ainsi que les inégalités corporatistes. Il y a une veine sociale. Même s'il y a encore du boulot, en particulier sur la pénibilité.
Il faut faire face et arrêter de vivre à crédit comme depuis 50 ans. Au moins 2500 milliards pour les générations à venir. Si encore l'investissement avait été prorise. Même pas. C'est pour payer de trop nombreux fonctionnaires bureaucrates et ça ruine le pays.
Les syndicats et partis politiques et gouvernements ont été gravement défaillants. Qu'ils s'investissent. Au boulot!
Là ça va bloquer. Que ça bloque. Il faut tenir. Il faut communiquer plus et mieux que jusqu'à présent.
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Retraites: Philippe abat sa carte sociale, mais ça ne marche pas du tout
Malgré un langage très social et compréhensif, le Premier ministre a galvanisé le mouvement social et s'est même mis à dos la CFDT, son dernier allié.
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