130.Urgences : la ministre de la Santé reconnaît qu'il y a "une crise qui persiste" alors que 213 services sont en grève

La ministre joue le pourrissement des conflits et les mesurettes de rafistolage comme les précédents ministres. Y en a marre.

Ce sont les patients qui font les frais de cette situation. Ce sont les vrais victimes de ce bordel qui perdure.

Une ambiance délétère s'installe et s'incruste.

Il faut sur les urgences et aussi sur d'autres sujets des décisions de fond rapides. Tout cela à été étudié avec force commissions et rapports. A force d'atermoiements et de recherche de paix sociale sans dire les choses on priorise les privilèges de certains. Dont le privé. Et il y a aussi des comportements de patients ou d'institutions comme les EHPAD qui ne peuvent plus perdurer. Les médecins sans exception doivent aussi assurer leur part. Il va bien falloir parler des résistances et du sabotage. Tout est caché ou presque.

Il va être temps pour la ministre attentiste de  bosser et de trancher. Reconnaître que ça perdure ce n'est pas bosser. Les parlementaires ne bossent pas non plus. Les institutions de santé non plus. 

++++++

Urgences : la ministre de la Santé reconnaît qu'il y a "une crise qui persiste" alors que 213 services sont en grève

Les 70 millions d'euros d'aide promis n'ont pas suffi à calmer la colère des grévistes.

France info 1/8